Surmonter le mensonge, la peur et la dictature (2)

Dans le silence du confinement mondial, la guerre dans le ciel fait rage… l’enjeu est la Liberté de l’humanité. Bien peu de gens réalise la gravité de la situation, la notion très élevée de Liberté n’évoquant pas grand chose pour la plupart d’entre nous. Au fondement moral de Liberté les hommes préfèrent la santé, un bien certes enviable mais strictement lié à notre nature terrestre matérielle et éphémère. Santé ou Liberté ? Un bien ou une valeur morale ? Au cœur de chaque personne, chaque jour, la lutte est intense. Nous sommes dans un temps de choix et de « passage »,  intérieurement écartelés. D’un côté de vastes forces complexes nous façonnent pour devenir de nouveaux types de personnes, de l’autre, la part sombre de notre être fait barrage, refusant de lâcher le matérialisme, l’attachement au corps physique. Notre «double» est sur-stimulé notamment par une électrification plus intense dans l’atmosphère -5G- (d’où maladies, dépression, folie, etc.). Tout nous pousse à renoncer à notre liberté au nom de la préservation de notre santé.

La confusion : une malédiction de l’athéisme

Si les temps que nous vivons sont troublés, ce n’est pas seulement à cause du virus, mais aussi de la difficulté que nous avons à comprendre ce qui se passe réellement. Les médias diffusent des informations contradictoires ; nous sommes bombardés de chiffres anxiogènes et invérifiables. Nous vivons un temps de grande confusion. Tous nos repères volent en éclat.

Ce n’est pas la première fois qu’au cours de l’histoire la confusion agite l’humanité…  R. Steiner parlait déjà de la confusion des dirigeants à la veille de la Grande Guerre (14/18), qui a permis à la catastrophe d’advenir. Les quelques personnalités décisionnaires à l’origine du déclenchement de la guerre ont été prises dans un tourbillon de confusion, ne comprenant plus, après coup, ce qu’il s’était passé pour en arriver là.

« Qu’est-ce donc que cette confusion et d’où vient-elle ?  (…) Il s’agit d’une confusion des activités de l’âme (du psychisme) provoquée par une extrême superficialité nous dit R. Steiner. Par confusion des activités de l’âme il faut comprendre que les activités de la pensée, du sentiment et de la volonté ne travaillent plus de concert entre elles. Elles ne restent pas en cohérence. Or il faut que les 3 activités soient alignées pour donner de la profondeur à l’être, pour que l’homme soit réellement impliqué dans sa vie. Seul un Moi imprégné de spiritualité (l’Esprit du Christ) peut avoir la force de conserver la cohérence des activités de l’âme. C’est impossible pour un matérialiste. Or, les personnalités importantes d’aujourd’hui qui ont pour tâche d’influencer les destinées du monde par leurs paroles n’ont pas la force de se maintenir en cohérence. Elles se laissent aller  à une légèreté d’esprit stupéfiante, parlent de choses inexistantes, écrivent des séquences de déductions dont elle remplissent des pages entières toujours dans le vide. Elles soutiennent leurs erreurs devant des assemblées, sans que les centaines de députés  présents, investis de la confiance du peuple, remarquent quoi que ce soit d’anormal».  Nous sommes décidément à une époque où n’allons pas au fond des choses pour y chercher la réalité. La superficialité vient de la coupure avec la réalité spirituelle, du rejet de Dieu. En aucun cas nous ne pouvons aller au fond des choses si nous n’incluons pas la dimension spirituelle. Nous devons avoir le courage de Dieu, «le courage de voir les choses telles qu’elles sont et ne pas mener une seconde vie dans le domaine de la fantaisie où il est si facile de remplacer la réalité par des fantômes».  Fantômes ? C’est exactement le mot employé à propos de la pandémie par le très médiatique Didier Raoult (infectiologue et professeur de microbiologie français), défenseur de la chloroquine pour traiter les malades du coronavirus. Il a toujours vivement critiqué  la stratégie de confinement et appelé la population à se faire dépister. « Le monde devient fou ! », estime-t-il. « Ce sont juste des fantômes que l’on agite ». Il n’est pas le seul à parler de fantômes… La fantaisie est un défaut largement répandu aujourd’hui et il a pour racine l’athéisme. Nous avons tendance à sortir de la réalité à chaque instant pour pénétrer dans le domaine des pensées superficielles et confuses.  Pourquoi cette confusion est-elle si redoutable à notre époque ? Parce qu’elle ne repose pas seulement sur des impulsions comme celles que nous ressentons mais que dans nos pensées, à notre insu, s’infiltrent des forces qui sont infra-humaines, des impulsions dites ahrimaniennes. Le rejet du spirituel nous livre pieds et poings liés à Ahriman qui peut à sa guise nous conduire là où il veut… – Cette confusion profite à certains hommes malfaisants  sachant très bien comment on peut mener l’humanité à notre époque, précisément en utilisant les forces de confusion, en faisant entrer cette confusion, au sens le plus large du mot, dans leurs calculs. Ces hommes se font un jeu d’utiliser des forces de nature satanique, ils réintroduisent ainsi dans l’humanité ces entités qui comptent sur la confusion, précisément sur la confusion de ceux qui restent en surface et ne veulent pas aller au coeur des problèmes (en refusant de considérer à part égale l’aspect spirituel aussi bien que les faits eux-mêmes) -.

 

Pour ce qui est de la Covid, ne doutons pas de l’existence d’une propagande forte, intelligente, subliminale en partie, et séquencée, calculée sur une période longue, évolutive, mais dont le déploiement progressif est prévu, calculé. Il ne faut pas douter de son existence et de son efficacité. La pléthore de controverses et d’informations sur le coronavirus à laquelle nous sommes soumis n’a en effet d’autre but que de troubler notre jugement et de nous détourner de la question centrale qui est hautement spirituelle. Le brouhaha autour du coronavirus est un moyen de sidérer l’opinion pour mieux l’asservir. Car c’est bien de cela dont il s’agit : l’asservissement de notre capacité à réfléchir, nous empêcher d’être souverains et de décider par soi-même de nos actions. Nous sommes face à la mise en place d’une dictature, sous un prétexte sanitaire. Le contrôle accru des populations, suspectées par principe de ne pas participer à la « guerre » contre le virus, la dénonciation et/ou la verbalisation de ceux qui ne se confinent pas avec zèle, l’humiliant laisser-passer que nous devons rédiger nous-même pour sortir de chez soi, l’interdiction faite aux proches d’aller soutenir leurs parents alors qu’ils sont en train de mourir, l’interdiction de se rassembler pour prier, etc. Une dictature pour notre bien… Certes, nous ne sommes pas complètement « innocents » de la tyrannie qui s’est installée ; nous avons une aptitude prodigieuse à la servitude volontaire comme l’a si magistralement expliqué La Boétie*. On a toujours les pouvoirs qu’on mérite, qu’on espère secrètement ou qu’on consent à subir… Serait-ce là la dictature prophétisée par de nombreux auteurs et clairvoyants ? Selon l’anthroposophe Bernard Lievegoed* « le sommet d’activité des cataclysmes se situe entre 2020 et 2040. L’Abîme sera grande ouverte, les démons vont entrer par milliers. Un règne totalitaire sera instauré, qui fera pâlir le national-socialisme et le bolchevisme. »  Le totalitarisme qui a déferlé a pris la forme d’une tyrannie médicale, anonyme, non personnifiée par un homme, mais par l’hydre aux mille têtes du Nouvel Ordre Mondial. Elle évolue aujourd’hui vers la tyrannie digitale (coïncidant avec l’incarnation de l’Antéchrist ?). La tyrannie numérique s’installera sans qu’une goutte de sang ne soit versée. C’est la population elle-même, confuse et terrorisée, qui appellera son salut dans une seringue.

Le Discours de la servitude volontaire – ouvrage rédigé par Étienne de la Boétie par fragments en 1574, puis intégralement en français en 1576, écrit par La Boétie probablement à l’âge de 16 ou 18 ans -.
* Comment sauver l’âme aux Eds Les Trois Arches

Comment répondre à ces confusions apparemment accablantes ?

  • S’efforcer de comprendre les choses, de réellement les percer à jour.  Cherchons à découvrir quel est le véritable mobile et quelle est la cause spirituelle des événements que nous sommes en train de vivre. Cette réflexion produit des pensées qui sont de réelles forces qui auront un effet. Nos pensées s’insèrent dans toute l’évolution universelle et contribuent à ce que du nouveau soit constamment introduit dans cette évolution.  Oui, les anges et St Michel interviennent…  Ils interviennent dans la mesure où nous nous ouvrons nous-mêmes à eux, si nous avons le courage de le faire. Mais avant toute chose nous devons comprendre les choses, être profondément sérieux en essayant de les comprendre. Ouvrons les yeux sur ce qui se passe réellement dans le monde, ne limitons pas notre compréhension au monde matériel mais ouvrons notre esprit à l’invisible.  Car, sans la compréhension des racines métaphysiques qui provoquent les événements temporels, nous ne pourrons jamais résoudre les problèmes cruciaux qui se posent à nous. Là est le moyen de distinguer l’essentiel de l’accessoire dans toutes les réalités que nous vivons.
  • La foi et le don de crainte, contrepoids à la confusion et à la peur : l’humanité telle que nous la connaissons disparaîtra si elle ne se tourne pas vers la réalité spirituelle. Telle est la conséquence de l’athéisme. Une société entière tournée contre Dieu ne peut raisonner convenablement car elle ne va pas au fond des choses. Elle ne peut pas faire preuve de retenue et de sagesse, encore moins développer une pensée saine et vivante car elle est soumise à la puissance d’égarement dont parle saint Paul et à l’aveuglement décrit dans l’évangile. En refusant Dieu, on se coupe de son essence spirituelle et on se coupe de l’accès à la Vérité. On est projeté loin de soi, dans un monde irréel de modélisations informatiques, de calculs et statistiques (le Dieu géomètre des Francs maçons). Rappelons que Dieu c’est le mystérieux Verbe, pas le géomètre…

LA FOI : comme déjà dit dans la première partie de cet article la croyance aux mensonges est un châtiment divin qui ne touche que ceux qui ont perdu la foi. Le désespoir et l’anxiété subies par une personne sont des signes qui démontrent qu’elle ne suit pas la voie de Dieu expliquait déjà Marie-Julie Jahenny, en 1880 dans ‘Cri du ciel sur le temps qui vient’ (page 124) : « Celui qui marche avec Dieu a la paix qui règne en lui dans le plus fort de l’orage. Aussi bien dans la peine que dans la joie, sa foi ne diminue pas. Car l’amour de Dieu ne survit pas dans les voies qui ne sont pas de Lui. » La foi c’est croire en Dieu, plus précisément c’est avoir confiance en Dieu, au spirituel. La foi ne consiste pas à demander à Dieu d’arrêter la tempête. La foi consiste à faire confiance à Dieu pour nous aider à traverser la tempête. Cela revient à juger authentiques certains faits ou certains événements, en vue de trouver des solutions à des problèmes.

La foi protège de la confusion et du mensonge (j’ai remarqué que ceux de mon entourage qui croyaient «dur comme fer» aux mensonges médiatiques de la Covid étaient les plus matérialistes et les plus athées – notre perméabilité aux mensonges serait-elle la mesure de notre manque de foi ? – ). La foi n’est pas la croyance aveugle. Elle repose sur l’étude de la science spirituelle, sur une connaissance éprouvée au plus profond de soi, sur une véritable expérience intérieure. Elle doit d’ailleurs se manifester jusque sur le plan terrestre. « […] mais quand vous diriez à cette montagne : ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, cela se ferait », dit le Christ dans l’évangile de Matthieu (XXI, 21). Selon ces paroles, la foi doit produire un résultat ; elle n’est pas une simple représentation qui n’éveille que des idées, des concepts. Quand on la possède, elle a des effets réels et quelque chose arrive.

La foi protège de la peur. Quand on la possède, elle a des effets réels car elle éradique de l’âme toute peur de ce qui vient vers nous du futur. Les sentiments de peur et d’anxiété rongent notre âme face à l’avenir inconnu. Y a-t-il une chose qui puisse donner à notre âme un sentiment de sécurité face au futur ? Oui, il y en a une… C’est une profonde acceptation envers tout ce que l’avenir nous réserve. Mais ce sentiment ne sera efficace que s’il a le caractère de la prière. Idéalement, il faut se dire : « Quel que soit l’événement qui adviendra dans une heure ou même seulement demain, ni mon angoisse ni ma peur n’y changeront rien. Je l’attends avec une âme parfaitement calme, semblable à une mer d’huile » R. Steiner. S’adonner à ce qu’on appelle la Sagesse divine dans les événements, recréer encore et toujours en soi, la pensée, le sentiment et la sensation intime que tout ce qui va arriver doit être, et que cela aura, d’une manière ou d’une autre, des effets bénéfiques. Engendrer dans l’âme une telle attitude et la concrétiser, en paroles, en sentiments, en idées, voilà en quoi consiste l’ambiance de la prière d’acceptation. Vivre en pure confiance, sans sécurité existentielle, vivre de la confiance en l’aide toujours présente du monde spirituel. En réalité, il ne peut en aller autrement de nos jours sans que le courage ne s’effondre. Disciplinons fortement notre volonté et cherchons à nous éveiller de l’intérieur, chaque matin et chaque soir.

La foi par la force de la connaissance spirituelle et par la prière. Dans ‘Nature de la prière’ R.Steiner nous explique que c‘est par les sentiments de confiance en Dieu que les pulsions à la prière apparaissent. Car ils sont présents dans l’âme elle-même, et fondamentalement ils mènent vers la prière dans chaque âme qui s’élève même un peu au-dessus du présent immédiat. La condition préalable de la prière se produit lorsque l’âme détourne son regard du présent transitoire vers l’éternel, qui embrasse le passé, le présent et le futur… L‘expérience de la prière nous amène à observer notre personnalité limitée, qui a cheminé du passé au présent, et nous montre clairement d’autres aspects de soi non utilisés. Elle nous amène à regarder vers l’avenir et nous montre que l’avenir peut apporter beaucoup plus à notre personnalité que celle-ci ne peut l’imaginer. Si nous comprenons cela, nous trouverons dans chaque prière une force qui nous mène au-delà de nous-mêmes. Car qu’est-ce que la prière si ce n’est la mise en lumière d’une puissance qui cherche à transcender ce que nous sommes aujourd’hui ? Et si la personnalité est saisie par cet effort, nous avons déjà le pouvoir de nous développer nous-même. Lorsque le passé nous a appris que nous avons plus en nous que ce que nous utilisons alors la prière est une mise en résonance avec le Christ qui nous comble de sa présence.

LE DON DE CRAINTE : méfions-nous de notre propre faiblesse, nous pouvons vraiment à tout instant, être tentés de nous abandonner à la fantaisie et aux fantômes. Restons en éveil, chérissons le don de crainte (qui fait partie des 7 dons de l’Esprit saint),  la crainte de passer à côté de la Grâce de la Vérité et de proférer des mensonges en toute bonne foi. Le don de crainte nous rend prudent, sage. Il fait que l’on prend son temps avant de dire les choses, qu’on les vérifie encore et encore et n’hésite pas à les corriger si erreur il y a. Cette crainte, c’est le désir de progresser. Là, se trouve le grand moteur de la vie spirituelle. C’est le désir d’aller plus loin et de se transcender. Le grand moteur de la vie spirituelle n’est pas la Grâce. La Grâce est première, mais inefficace si en moi il n’y a pas ce désir, cette vigilance, cette exigence, cette volonté à aller de l’avant. Il s’agit de « vouloir avec une détermination bien déterminée » (Thérèse d’Avila). Autrement dit, c’est la crainte de passer à côté de la Grâce de Dieu.

« Les contrevérités sont comme des virus vagabonds qui trouveront un hôte dans les esprits vacants »… Notre propre vérité n’est pas la vérité suprême ou ultime, mais une voix et une pensée claires, non contaminées par de faux-semblants. Le déni de soi est le ver qui mange à l’Arbre de vie lui-même… L’exactitude apporte le plaisir – plaisir de la justesse, de l’achèvement, de l’accomplissement, de la victoire de l’effort. L’inexactitude apporte avec elle l’illusion que tout le reste est aussi chaotique et absurde et que son seul bonheur réside dans le dilemme. La vérité est centrale, le mensonge est périphérique. Une fausse vérité ne peut jamais se rapprocher de la réalité divine, car elle n’y a pas d’amis, pas de liens avec la création. Cette loi est importante, car elle décide de nombreux événements invisibles… Chaque instant nous donne le choix : se référer à la vérité que nous avons recherchée et trouvée par soi-même (avec la Grâce de St Michel ou de l’Esprit Saint), ou s’en remettre à la pensée commune…

Connaître le devenir de l’homme pour faire contrepoids à la dictature

Dans l’invisible des forces cherchent à s’approprier notre pensée libre et notre conscience individuelle (c’est-à-dire la conscience d’être un moi, distinct de l’environnement). Cette conscience de soi (la plus grande conquête de l’homme – et de l’univers -) qui permet le choix, sera un progrès de la création quand elle atteindra sa maturité. Les anges eux-mêmes n’ont pas cette liberté. Ils sont amour par nature, non parce qu’ils l’ont choisi. L’humanité, un jour, dépassera les anges, car elle sera amour par choix (elle associera l’amour à la liberté)…

Certaines entités spirituelles, dites «retardataires», convoitent la conscience de l’homme, sa capacité à choisir et d’être une individualité libre. Ils sont les obstacles auxquels la conscience humaine doit se confronter pour justement conquérir sa liberté. L’âme humaine devra lutter pour ne pas être détournée de sa lumineuse destinée vers l’amour et la liberté car les entités retardataires cherchent à détourner à leur profit la finalité de l’humanité.

Steiner nous dit que le principe fondamental de notre époque est le développement de «l’âme de conscience». Nous avons atteint un degré d’évolution où nous pouvons faire émerger dans notre psyché un penser vivant, individualisé, indépendant. Avec l’émergence de cette force d’âme, nous allons acquérir de nouvelles facultés, notamment la clairvoyance, clairaudience, etc., mais pas que… De grandes possibilités nous sont données par rapport à la compréhension des forces de la vie, de la mort et du mal. Mais pour l’instant ces possibilités sont mises en action de façon dénaturée (c’est la caractéristique d’Ahriman). Les institutions qui sont généralement considérées comme bénéfiques (éducation, médecine, etc.) deviennent de fait les pires porteurs du mal (ce qui ne veut pas dire que ces institutions devraient être évitées ou détruites, mais qu’il faudrait les purifier et les rénover en tenant compte de la réalité spirituelle). Trois tendances d’évolution progressive commencent à se développer dans l’humanité en rapport avec la naissance, la guérison et la matière :

– la première est que nous allons savoir, par une régulation astrologique des naissances, faire naître, au bon moment et au bon endroit, les entités humaines qu’il faut, ou au contraire, faire venir les mauvaises entités, pour empêcher l’évolution. C’est ce qu’on appelle l’occultisme eugénique (qui peut faire un grand bien ou un grand mal, selon la manière dont il est employé) ;

– la deuxième est l’occultisme hygiénique. Nous allons accéder à un véritable art de la médecine dont le fondement est de garder intact les forces guérissantes naturelles du corps. Les facultés d’hygiène psychique sont une médecine de l’âme qui tient compte notamment de l’influence des morts sur la santé des vivants.

– la troisième est que nous allons savoir produire des forces machinelles fantastiques, basées sur le rythme et la résonance (le « moteur de Keely », aujourd’hui perdu, a été un premier pas dans cette direction). C’est l’occultisme mécanique (qui peut détruire la société si l’égoïsme n’est pas banni de son économie).

Ces trois évolutions devront être développées par l’effort et se contrebalancer mutuellement dans le futur. Bien entendu, Ahriman/Satan en tant que Seigneur des obstacles cherche à dévoyer et à pervertir ces trois évolutions que le destin a fixées pour l’époque de l’âme de conscience. Les côtés bénéfique et maléfique se développent en même temps. La direction de ces trois tendances dépendra de la conscience et de la volonté des hommes.

L’exemple à notre époque d’occultismes eugénique, hygiénique et mécanique dévoyés

– Pervertissant l’occultisme eugénique, des impulsions sexuelles destructives affectent l’ensemble de la vie sociale et travaillent à l’encontre du développement d’une fraternité humaine consciente, rendant l’humanité totalement égoïste et contrôlée par des besoins instinctifs irrépressibles, portés par le sang. L’eugénisme occulte est dévoyé par l’utilisation des forces duelles, notamment celles du bien et du mal, issu de l’axe Gémeaux/Sagittaire, ou forces de Minuit, dans le but de favoriser l’incarnation d’âmes mauvaises. La faculté eugénique occulte éclairée par une compréhension spirituelle des lois astrologiques de la naissance permettra au contraire de favoriser la naissance d’individus moraux. Les êtres démoniaques s’arrogent le développement de l’eugénisme occulte en étudiant et pratiquant le clonage et la génétique. On murmure qu’une nouvelle humanité aurait commencé à être créée depuis maintenant une quarantaine d’années par manipulation génétique. Ces enfants ainsi nés, sont élevés froidement, sans parents véritables, pour être sans coeur et dépourvus d’émotions. La sélection génétique s’est faite pour qu’ils aient des capacités hors normes, exercées adultes dans la politique, les sciences, le show-business où ils font le bonheur de leurs fans. Cette nouvelle humanité, qui se veut « supérieure », doit dominer et remplacer l’humanité telle qu’elle est aujourd’hui (en supprimant l’excédent s’il le faut). Elle mènera la technoscience à son paroxysme, et ce dans tous les domaines. Ahriman fait miroiter à ses « élus » le pouvoir que leur procurera ces technologies : « Si vous combinez tous les ordinateurs en réseaux, vous aurez l’omniscience, et vous pourrez contrôler le monde, être tout-puissants ! ». Pris dans un intellect déconnecté de la réalité, ces êtres développent la clairvoyance primitive, atavique, au niveau de la volonté inconsciente, où des entités ahrimaniennes les manipulent. Nous devons prier pour ces âmes.

– Pervertissant l’occultisme hygiénique, la médecine devient matérialiste et peut servir à guérir ou à nuire, selon des objectifs égoïstes. La vaccination contre toutes les maladies imaginables est un des facteurs nuisant au développement de la médecine de l’âme car elle évite l’expression des maladies karmiques (le karma se manifeste par un mal-être et une perte de sens qui nuisent au développement de l’âme). R. Steiner dit que l’occultisme hygiénique dévoyé ira jusqu’à considérer que la croyance en une réalité spirituelle est une maladie mentale et le potentiel de développement psychique et spirituel sera dépisté dans les gènes et interprété comme une « disposition à la maladie mentale » nécessitant une médication appropriée. À l’opposé de l’occultisme hygiénique dévoyé, basé sur la peur du microbe et du virus, qui se concentre sur les forces de mort, d’autres chercheurs commencent à se concentrer sur le vivant et les forces de guérison produites en abondance par le corps lui-même. Cette médecine du vivant remet en question Pasteur (considéré comme un imposteur) au profit d’Antoine Béchamp, son contemporain. C’est une véritable révolution : les virus n’existent pas. Ce sont en réalité les exosomes fabriqués, à partir des microzymas* par nos cellules intoxiquées. Ils ne naissent pas à l’extérieur de nos organismes. Cela remet en cause toute la médecine actuelle avec ses vaccins, antibiotiques, etc… Y compris le coronavirus qui est justement une création de l’occultisme hygiénique dévoyé. Même « Pasteur » avoua ses crimes sur son lit de mort, il confessa : « Béchamp avait raison! Le terrain est tout! le microbe n’est rien! »

* Les microzymas découverts par Antoine Béchamp en 1858 sont les agents de la vie, « les nanotechnologies du bon Dieu » en quelque sorte (ARN et ADN ne produisent pas le vivant, ils ne sont que la chaine de montage). Au cœur de ces petits ferments organisés, il y a une structure cristalline en silice. Le microzymas utilise son cœur en silice, « sa puce », pour transmettre ses informations de l’invisible au visible et du visible à l’invisible. La silice entre en résonance avec des forces extérieures, un rayonnement qui fait antenne et fait vibrer la silice. C’est un phénomène corpusculo-ondulatoire, un peu comme la lumière mais de manière plus fine.

– Pervertissant l’occultisme mécanique, des forces puissantes, du type de celles de la machine de Keely, contrôlées non pas par des « vibrations » de bonnes personnes (voulant la libération des travailleurs) mais par des gens égoïstes, avec l’objectif funeste de prendre le pouvoir et de contrôler les masses. Le mécanisme occulte permettra de mettre des machines en mouvement en vertu de la loi de résonance que découvrirent John Keely, Wilhelm Reich et Nicolas Tesla au début du XXe siècle. La technique morale, forme de magie blanche, sera développée par certains individus qui pourront mettre des machines en marche en leur transférant « comme par magie » les ondulations rythmiques cosmiques des constellations de la Vierge et du Poisson, qui sont les forces du Matin et du Soir. Cette faculté leur viendra de leur qualité morale exceptionnelle, laquelle leur permettra de diriger l’action des bons élémentaux qui les entourent en permanence. Le développement déviant, égoïste et unilatéral des forces de l’occultisme mécanique entraînera la mécanisation sociale par laquelle les élites contrôleront les masses en paralysant toute tentative de soulèvement. Ahriman veut étendre cet occultisme mécaniste à toute la planète pour écraser le développement des deux autres facultés et s’arroger leurs pouvoirs. L’imposition des micropuces fonctionnant au moyen de cristaux ainsi que l’utilisation des technologies à extrêmes hautes et basses fréquences électromagnétiques, telles que les projets Haarp, Blue Beam, 5G, etc. pour la manipulation de la conscience humaine, servent un tel agenda. Les loges occidentales ahrimaniennes savent que les forces géomagnétiques exercent une action excitante sur le Double, qui éclipse alors plus facilement l’individu. Elles savent aussi que cette action géomagnétique est très puissante et particulièrement mécanisante – donc puissamment liée à la sous-nature et au double. Le flux constant d’ondes électromagnétiques dans lequel on baigne, couplé à l’effet excitant du géomagnétisme sur le Double, nous lie aux machines et aux entités ahrimaniennes. À proximité des machines émettant de l’électromagnétisme, les terminaisons nerveuses sont durcies et « meurent » car l’électricité et le champ magnétique font sortir des nerfs tout ce qui est spirituel. La pensée sera donc de plus en plus ahrimanienne. À l’avenir, l’homme et la machine seront de plus en plus étroitement liés. Sous l’assaut des forces ahrimaniennes, les humains risquent de perdre contact avec le spirituel et de se lier à la sous-nature, sur une voie d’émancipation descendante, contraire à la voie d’ascension spirituelle de la Terre.

La 5G serait le premier pas effectif dans la mise en place du transhumanisme (le mariage entre l’homme et la machine). Derrière la guerre pour la suprématie de l’IA (entre les USA et la Chine notamment) se cache la guerre entre l’humanité et d’obscurs êtres surnaturels qui veulent se saisir de la conscience de soi de l’homme, de son inaliénable liberté. L’enjeu : la privatisation de la VIE et de l’immortalité. L’homme ne sera plus un mammifère. Il se libérera de son corps, ne fera plus qu’un avec l’ordinateur et, grâce à l’intelligence artificielle, accédera à l’immortalité… De la science-fiction ? Posons-nous la question :  pourquoi tant de gens travaillent sur le transhumanisme dans la Silicon Valley, en Chine et en Israël ? A quoi ça sert ? Ray Kurzweil (conseiller exécutif de Google), Elon Musk (Space X), Bill Gates et tant d’autres promoteurs du transhumanisme ont annoncé la « connexion de l’esprit humain à l’I.A. pour 2030 » et que « l’I.A deviendra la pensée humaine ». Nous pouvons écouter leurs conférences, ils parlent clairement de leurs projets. Il n’y a rien de caché.

Puisque ces «hommes» existent, peut-on se demander s’ils ne seraient pas une demeure de Satan et ses démons ? Qu’est-ce qu’une « possession » et comment ça marche ? D’où vient l’entité qui possède et comment arrive-t-elle à posséder un humain ? A quoi servent les rituels démoniaques ? Que font-ils et comment ça marche ? Dans quel but ? Quand Pike dit que Lucifer lui apparaît en personne, d’ou vient-il et comment peut-il apparaître dans notre monde ? Pourquoi les rituels démoniaques font des sacrifices d’enfants pré-pubères (comme dans les anciennes civilisations) ? A quoi ça sert ? A quoi servira cette technologie de l’intelligence artificielle ? A quoi servira le puçage électronique des humains par le vaccin ? Pourquoi vouloir connecter le cerveau humain à l’I.A. ? Dans quel but ?

En répondant à ces questions, on comprend que la technologie 5G, satellites, etc. est simplement ce qui permet aux démons de prendre possession des humains de manière continue et permanente. Georges Orwell et Aldous Huxley n’étaient pas de simples romanciers… R.Steiner nous dit qu’Ahriman veut empêcher l’évolution de la Terre vers le futur Jupiter (la Jérusalem céleste des Écritures) et nous emprisonner dans Son monde : la technologie (qu’il donne lui-même aux humains) est là pour l’y aider. Ainsi, il permet à l’homme de créer sa propre prison mentale et spirituelle. Mais la prison d’Ahriman n’est pas que spirituelle, elle est aussi matérielle. C’est pourquoi il est crucial de comprendre le plan des forces du Mal et de les dénoncer pour faire contrepoids en développant nos propres capacités spirituelles.

A SUIVRE

Le double et le retour du Christ dans le monde éthérique (3)

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